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Les Dévorées

Vertige, en découvrant les cyanotypes de feuillages, nervures mises à nu, comme un aveu du fragile en nous, qui s’efface et donne à voir ce qui nous tient de l’intérieur.

Sophie Grenaud.

La série Les Dévorées utilise d'anciens papiers à cigarette minces et translucides, un peu fripés, comme une très vieille peau sur lesquels je brode des fragments du jardin de l’enfance, de cette époque où les fleurs parlaient encore.

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